Tout va bien. Du moins de mieux en mieux.
Ces derniers jours ont été particulièrement nébuleux et j’en ai littéralement eu ma claque du monde virtuel. Presque tout oscillait entre harassement et fastidiosité abyssale. Je manquais d’envie mais aussi d’énergie pour entretenir une présence virtuelle. J’étais complètement flagada. J’avais besoin de chérir la vie de l’autre côté de mon écran et prendre soin de moi.
Ce billet, après quelques mois d’absence est un condensé d’enseignements récemment reçus de la vie que je choisis de partager avec vous. Puissent-ils être un tremplin vers le raidillon du lâcher-prise comme ils l’ont été pour moi.
Accepter et accueillir l’imprévu :
Il arrive parfois que nos prévisions prennent une autre tangente que celle initialement prévue. Tout ne se passe toujours pas comme prévu et nous n’avons malheureusement (ou heureusement dirais-je) pas le pouvoir de tout contrôler. Une chose est de le savoir, et une autre est de s’en souvenir et de l’appliquer au bon moment. C’est d’ailleurs le plus épineux. Ce dont je suis certaine, c’est que ce qui nous ai destiné nous parviendra, quoi qu’il arrive. L’accepter est un joyau pour une vie plus quiète.

S’autoriser à aller à son rythme :
Pour de bon. Parce que la vie est loin d’être une course. Je le savais déjà, mais la vérité c’est que ce n’est pas toujours évident de s’en souvenir.
J’essaie d’être indulgente avec moi-même en me rappelant que je suis humaine. Toutefois, j’aime à penser qu’il est toujours mieux de s’en souvenir et se l’imprégner encore et encore.

Ajuster :
C’est le précieux mantra auquel je décide de m’attacher aujourd’hui et pour toujours. Être dans le juste milieu, quoi que je fasse tout en conservant celle que je suis. Ne dit-on pas que l’excès en tout est nuisible ?

C’est moi qui décide, pas mes émotions :
Toute émotion n’est pas bonne à écouter. Tu peux toutefois l’accepter sans pour autant la laisser prendre le contrôle. Certaines émotions ne sont pas toujours justifiées, même si elles sont légitimes.

Le chemin vers la guérison est parfois en dents de scie :
Guérir d’une blessure émotionnelle aussi légère ou profonde qu’elle soit demande parfois du temps.
Le temps d’apprendre à l’accepter, le temps de la nettoyer et la purifier. Le temps de laisser le temps faire faire les choses en leur temps.
Et vous, qu’avez-vous récemment appris de la vie?
Avec tout mon Amour!